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The Master voir ce complet film avec sous-titres

The Master

Synopsis et détails

Freddie, un vétéran, revient en Californie après s’être battu dans le Pacifique. Alcoolique, il distille sa propre gnôle et contient difficilement la violence qu’il a en lui… Quand Freddie rencontre Lancaster Dodd – « le Maître », charismatique meneur d’un mouvement nommé la Cause, il tombe rapidement sous sa coupe.

Distributeur Metropolitan FilmExport

RĂ©compenses 6 prix et 14 nominations

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Année de production 2012

Date de sortie DVD 15/05/2013

Date de sortie Blu-ray 15/05/2013

Date de sortie VOD 25/07/2012

Type de film Long-métrage

Back in 70

The Master a été tourné en 70mm, un format qui n'est plus utilisé dans le milieu cinématographique. Dans les années 60, il a servi pour de nombreux films comme Lawrence d'Arabie (1962) de David Lean ou

Sous influences

Paul Thomas Anderson cite comme influences pour The Master aussi bien les romans de John Steinbeck que les histoires qu'a pu lui raconter l'acteur Jason Robards, soldat lors de la guerre du Pacifique.

Tout vient Ă  point.

Dès l'écriture du scénario, Paul Thomas Anderson désirait faire tourner Joaquin Phoenix, désir qui ne date pas d'hier. "Cela fait 12 ans que je lui demande de jouer dans mes films mais il a toujours eu une raison de refuser. Je suis simplement reconnaissant qu'il ait accepté cette fois-ci", explique le réalisateur.

17 Secrets de tournage

Dernières news

Paul Thomas Anderson est toujours au top

L'interprétation des acteurs est vraiment excellente. Toutefois il semble que les spectateurs ne comprennent pas vraiment le film. Ce que je comprends moi, c'est que le Maître devient en définitive "accroc" à Freddie Quell, comme la secte qu'il met en marche, il est tributaire des actes fous et éperdus de son cobaye. La relation au final est inversée car Freddie n'a pas besoin de ce Maître là, et n'a besoin d'aucun Maître, ce qui fait fondre en larmes Lancaster qui est persuadé que chacun de nous a un maître pour survivre. J'ai aimé malgré la confusion du récit, c'est un beau travail.

Un bien étrange film, ou P.T Anderson visite toujours en profondeur l'humanité de ces personnages. Peut-être moins personnel et moins prenant que ces anciens films, mais intéressant dans son histoire et son évolution. Quand à l'interprétation des acteurs, elle est excellente.

Décu. Malgré un sujet intéressant sur la naissance d'un secte, on n'accroche pas. le jeu des acteurs est appréciable mais ne suffit pas à rattraper le tout

Joaquin Phoenix et Philip Seymour Hoffman, se regroupent pour donner une oeuvre excellente
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et je lance une petition pour qu on retire l oscar a day lewis meme si je l adore et qu on le donne a joacquin phoenix pour l interpretation qu il a eu dans ce film
son role etait tres complexe et il s en est tire a merveille je trouve ca aberant qu il ne l est pas remporte ou peut etre fallait il donner quelque chose a lincoln pour son cote patriote et de l histoire des USA
C est comme l annee dernier the artist a tout raflle car ca traiter de l histoire du cinema americain ca aurait etait du cinema allemand ou autre il aurait rien remporte du tout
et le grand vainqueur de cette annee Argo de quoi parle t il d une operation historique d un agent de l CIA pour sauver des compatriote prient en otage dans un ambassade
moraliter vous voulez des oscars faites un film pro americain
je ne sais pas si on juge la qualite ou le chauvinisme

bref joacquin aurait du avoir l oscar

le film est inspire de la vie du fondateur de l eglise de scientologie
filme a la there will be blood ne prenant pas de partie pris et nous laissant libre de juger
comme dans there will be blood day lewis est il bon ou mauvais?
l eglise scientologique est elle une profession de foi ou juste une arnaque?
difficile d en juger dans le film
Lancaster Dodd est il fou. est il un illumine? un escroc? son entourage meme s il le suis part l appat du gain et du pouvoir a l air divise
SPOIL
La scene final nous montre quand meme la manipulation exerce meme si la therapie a l air d avoir aide notre Freddie Quell a touve un semblant de paix
film intelligent et tres bien joue ne plaira pas a tout le monde moi j adore joaquin phoenix donc j adore

j'adore les gens qui disent si vous aver aimer there will be blood vous serez decu par the master. j'ai trouver les 2 films asser identiques dans la forme mais l'histoire est differente c'est tout. PJ'ai trouver ca mieux que there will be blood et magnolia que je considere comme des chef-oeuvre alors.

L'immense, que dis-je, le prodigieux Paul Thomas Anderson est de retour. 5 ans après le somptueux There Will Be Blood, voilà le cinéaste génial de retour avec ce The Master. Récit d'un déglingué de la vie et de son mentor, pour ne pas dire gourou, The Master n'est pas anodin. Drame de l'existence, métaphore filée de l'assujettissement moral et physique, ce long-métrage très austère parvient, grâce à une mise en scène sublime, à tutoyer la perfection formelle.

La seconde guerre mondiale vient de se terminer, laissant le pays exsangue. Freddie est un homme cassé, alcoolique et en proie à une folie qui le pousse dans ses derniers retranchements. Bientôt, il fait une étrange rencontre, Lancaster Dodd, appelé Le Maître, sorte de gourou qui va devenir son mentor.

The Master est-il, à l'image de Paul Thomas Anderson, destiné à n'être apprécié que par la presse élitiste. Il est vrai que ses choix artistiques sont déstabilisants mais quand on fait fi de cette contemplation statique, on perçoit la grandeur, le génie qui affleure dans chaque plan de son film, dans chaque oeuvre qu'il nous a donnée. The Master n'est pas le simple récit d'un pays qui se reconstruit difficilement, c'est surtout l'histoire d'une rencontre improbable et d'une recherche intérieure. Ce film bénéficie de tout le talent de son auteur. reconstitution élégante, esthétisme superbe, un 70 mm parfait et une direction d'acteurs inspirée. Joaquin Phoenix, il y a du Daniel Day-Lewis en toi. Sa performance est juste énorme. Entre des plans séquences magnifiques, une bo grandiose et une photographie exceptionnelle, The Master est un film digne de louanges. Attention, c'est très lent. 4,5/5

Pourquoi ce film est il une vaste perte de temps. Découvrez une critique punchy sur un Tumblr de qualité:

Ah quelle magie dans « The Master ». Une œuvre envoûtante, aussi riche visuellement que particulièrement déstabilisante. Ce qui reste littéralement fascinant chez ce génial Anderson (ou bien gênant ou sidérant pour certains), c’est cette vivacité cette volonté d’exprimer le plus sincèrement possible sa vision de l’histoire, sa propre insertion psychologique des personnages.
Cette magnifique vivacité ressort à l’écran, elle nous explose au visage au-delà de toute barrière conventionnelle, et ce à travers l’intensité du propos et la richesse de l’interprétation, mais aussi à travers des plans grandioses, dignes de tableaux, aux cadrages extrêmement minutieux et précis et directement liés à l’imaginaire du réalisateur. Des plans qui respirent l’art, qui ont chacun des choses à dire (ah la scène ou Joaquin court dans le champ, ah le plan séquence jusquà l'entrée dans le bateau ou celui de l'accrochage dans le hall).
Pour ce qui est du fond, il est clairement question de secte dans « The Master ». Le génial réalisateur n’en fait ni l’apologie ni la critique. Il la montre d’ailleurs à travers le parcours de Freddie (interprété avec magnificence par Phoenix). un homme tourmenté, torturé, dont la violence est difficilement contrôlable, mais extraordinairement intelligent et en quête de réponses, qui plus est après sa traumatisante expérience de guerre. Il se sent seul, seul et incompris dans ce monde où personne ne l’accompagne ou l’aide à trouver sa voie… jusqu’à ce qu’il rencontre (d’une manière sublime d’ailleurs) un certain « Master » (superbe Philip Seymour Hoffman). Tout est diablement beau, linéaire (on pardonnera l'absurdité de certaines scènes une demi heure avant la fin), la reconstitution des années 1950 est brillante et tour à tour se succèderont espoir, pessimisme et ironie dans ce tableau dressé de cette dite secte, dans laquelle, qui sait, Freddie aura peut-être trouvé un semblant de voie et de compréhension, car sans avoir été finalement totalement accompagné, il aura trouvé un peu de lumière au bout de son chemin…
Que dire de plus c’est de l’art du beau…

Brillant techniquement parlant peut-être, quelques fulgurances desservies par des dialogues qui en restent aux petites touches" qui en jettent" et rien de plus, comme s'il fallait ne se fâcher avec personne. Film pas aimable et pas non plus émouvant. Plein de tics de comportements comme pour meubler. En plus du trop plein de bien-pensance dégoulinante étasunienne derrière les situations. Vraiment rien à en tirer si ce n'est une espèce d'enchaînement de deux hommes, ce à quoi on arrive à force se frotter l'un à l'autre faute de perspectives. Même fatras global que "Magnolia" dont on pouvait déplorer la pesante démonstration mais jubiler en seconde partie pour cause de "point sur les i". Ici on s'embourbe toujours plus (pauvre Joaquin Phenix en type tordu, pitoyable Philip Seymour Hoffman en prêcheur autocrate !). Défilent tous les côtés "crades" du puritanisme américain du nord. Ce qui froisse est la totale opacité du point de vue du réalisateur. Complaisance. Vacuité. Bien la peine d'employer un tandem de cette trempe pour un numéro aussi fadasse !

From The Master to Django
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