Flics sans scrupule regarder en ligne avec sous-titres 4K

Stop aux refus de plaintes dans les commissariats. dit le DĂ©fenseur des droits

Nombre de lecteurs de Sosconso se plaignent que des policiers refusent d’enregistrer leurs plaintes.
Le Défenseur des droits. Dominique Baudis, a été saisi 46 fois pour ce motif, en 2013.
Il a, a plusieurs reprises, demandĂ© que le ministère de l’intĂ©rieur rappelle aux fonctionnaires de police l’obligation qui s’impose Ă  eux, de recevoir les plaintes des victimes d’infractions.

Ils sont censĂ©s enregistrer une plainte dès que la demande est Ă©mise, quels que soient le lieu oĂą a Ă©tĂ© commise l’infraction et le lieu de rĂ©sidence de la victime, et sans que cette dernière ait besoin d’apporter pour cela un quelconque Ă©lĂ©ment de preuve (certificat mĂ©dical, devis, etc).

Le DĂ©fenseur des droits a pu constater que les policiers incitent les plaignants Ă  ne dĂ©poser qu’une main courante, et non une plainte.
La main courante est simplement déclarative; elle n’implique pas que la justice soit informée, ni qu’une investigation soit lancée; elle pourra seulement être versée à l’instruction si une procédure judiciaire a lieu.
La plainte, en revanche, suppose une transmission au procureur de la République qui décide des suites à y donner.

Le DĂ©fenseur des droits a Ă©galement pu constater que plusieurs prĂ©textes sont invoquĂ©s, pour refuser un enregistrement de la plainte; certains peuvent se justifier (lorsque les forces de l’ordre estiment que les faits dĂ©noncĂ©s ne peuvent ĂŞtre qualifiĂ©s pĂ©nalement); d’autres (manque de temps, surcharge de travail) sont incompatibles avec les droits de la victime.

Le Défenseur des droits a identifié plusieurs situations « à risque »:
– violences conjugales ou les contextes de sĂ©paration des conjoints ;
– conflits de voisinage ou litiges privĂ©s, les faits dont la qualification pĂ©nale n’est pas Ă©vidente
– plaintes Ă  l’encontre des forces de l’ordre
– plaintes de personnes en situation irrĂ©gulière

Voici quelques exemples:

Refus de plainte après une tentative de cambriolage
Le 30 octobre 2009, M. C. rentre Ă  son domicile de Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine). Il y surprend un inconnu, qui s’enfuit.
Le lendemain, M. C. va au commissariat, dans l’intention de porter plainte pour violation de domicile, une infraction prĂ©vue Ă  l’article 226-4 du code pĂ©nal.

Le fonctionnaire de police n’accepte qu’une main courante, aucun objet n’ayant Ă©tĂ© dĂ©robĂ© et l’intrusion s’Ă©tant faite sans effraction.

Dans la nuit du 3 au 4 3 fĂ©vrier 2010, on sonne chez M. C Ă  cinq reprises. Il ne rĂ©agit pas, jusqu’Ă  ce qu’il entende des bruits suspects de serrures. Quand il ouvre, il n’y a plus personne.

Le 6 fĂ©vrier 2010, Ă  quatre heures du matin, il est Ă  nouveau alertĂ© par des bruits suspects. Il sort sur le palier et aperçoit deux personnes qui s’affairent sur la serrure d’un appartement voisin. Elles quittent les lieux prĂ©cipitamment.

Cette accumulation de faits le conduit Ă  se prĂ©senter une seconde fois au commissariat. Il exprime le souhait de dĂ©poser trois plaintes, correspondant aux trois Ă©vĂ©nements. Les policiers refusent, arguant que les faits du 30 octobre 2009 sont « trop anciens » et que pour les autres, il n’y a « pas matière « .

Dans un courrier en date du 19 mars 2010, M. C. se plaint auprès du directeur de la sĂ©curitĂ© de proximitĂ© de l’agglomĂ©ration parisienne. Celui-ci rĂ©pond que les refus des fonctionnaires Ă©taient justifiĂ©, » les Ă©lĂ©ments de l’infraction n’Ă©tant pas constituĂ©s «. M. C. saisit alors le DĂ©fenseur des droits.

Celui-ci estime que les faits du 30 octobre 2009 étaient susceptibles de caractériser une infraction pénale, relevant:
– soit de l’article 226-4: introduction dans le domicile d’autrui Ă  l’aide de manoeuvres, menaces, voies de fait ou contrainte, hors les cas oĂą la loi le permet
– soit de l’article 132-73: l’effraction consiste dans le forcement, la dĂ©gradation ou la destruction de tout dispositif de fermeture ou de toute espèce de clĂ´ture. Est assimilĂ© Ă  l’effraction l’usage de fausses clefs, de clefs indĂ»ment obtenues ou de tout instrument pouvant ĂŞtre frauduleusement employĂ© pour actionner un dispositif de fermeture sans le forcer ni le dĂ©grader.

S’agissant des faits du 3 fĂ©vrier 2010, il y avait bien tentative de violation de domicile, et infraction Ă  l’article 226-4 .

En revanche, pour ce qui est des faits du 6 fĂ©vrier 2010, M. C. n’Ă©tant pas la victime, seul son voisin aurait pu dĂ©poser plainte.

Le DĂ©fenseur des droits demande que le ministère de l’intĂ©rieur rappelle aux fonctionnaires de police du commissariat de Clichy-la-Garenne leur obligation d’enregistrer les plaintes.

Refus de plainte après destruction d’un vĂ©hicule
Au lendemain de manifestations lycĂ©ennes ayant entraĂ®nĂ© de nombreuses dĂ©gradations de mobilier et de vĂ©hicules, Ă  Nanterre (Hauts-de-Seine), le 17 octobre 2010, Mme B. constate que le sien est inutilisable: vitres brisĂ©es, portières enfoncĂ©es, bloc phare arrière gauche fondu, impacts divers…

Elle suit scrupuleusement les instructions donnĂ©es par sa compagnie d’assurances: elle fait appel Ă  un service d’assistance pour le remorquage du vĂ©hicule jusqu’au garage; puis elle se rend au commissariat pour enregistrer une plainte, destinĂ©e Ă  permettre la prise en charge des rĂ©parations.

L’agent chargĂ© d’accueillir les victimes exige de voir le vĂ©hicule avant l’enregistrement de la plainte. Mme B. lui explique que ce n’est pas possible, celui-ci se trouvant au garage. Son fils, qui l’accompagne, montre des photos prises Ă  l’aide de son tĂ©lĂ©phone portable. Le fonctionnaire maintient son refus.

Mme B. lui dĂ©signe, sans plus de succès, la Charte de l’accueil du public et de l’assistance aux victimes. affichĂ©e dans le hall. Le fils fait alors observer qu’il serait plus opportun de parler Ă  un gradĂ©. Il s’ensuite un Ă©change de mots entre le jeune homme et le policier. Le fonctionnaire dit Ă  la mère que son fils est mal Ă©levĂ©. Elle rĂ©plique. « Vous, vous n’ĂŞtes qu’un bouffon. » Elle se met Ă  crier qu’elle veut voir un gradĂ©, et qu’elle ne bougera pas du comptoir tant qu’elle n’obtiendra pas satisfaction.

Deux ou trois policiers sortent d’un bureau et lui proposent de les suivre. Ce qu’elle fait, pensant avoir enfin Ă©tĂ© entendue.

Selon Mme B. Ă  peine la porte refermĂ©e, les policiers annoncent: « Allez hop! En garde Ă  vue! » Il s’ensuit une lutte au terme de laquelle elle se retrouve menottĂ©e Ă  un banc. L’agent qui assurait l’accueil dĂ©pose plainte contre elle pour outrages. Il rend compte au magistrat de permanence au parquet, et lui notifie un rappel Ă  la loi.

Pendant ce temps, son fils est allĂ© au garage rĂ©cupĂ©rer le vĂ©hicule, et l’a conduit, non sans difficultĂ©s, devant le commissariat – ce dont les policiers lui font reproche, en constatant son Ă©tat. L’agent de l’accueil enregistre enfin la plainte pour dĂ©gradation volontaire de vĂ©hicule et vol Ă  l’intĂ©rieur de celui-ci.

Le DĂ©fenseur des droits, saisi par Mme B. demande que le ministre de l’intĂ©rieur rappelle aux policiers de Nanterre que les victimes ne sont pas tenues d’apporter la preuve d’une infraction au moment de l’enregistrement de la plainte: aucun document tel que devis de rĂ©paration ou certificat mĂ©dical ne saurait ĂŞtre exigĂ©.

Refus de plainte pour non-reprĂ©sentation d’enfant
M. L. se prĂ©sente au commissariat de Villeurbanne, pour dĂ©poser plainte contre son Ă©pouse, pour non-reprĂ©sentation de leur fille, le 7 aoĂ»t 2010. Les policiers refusent d’enregistrer la plainte, ne l’autorisant qu’Ă  remplir une main courante.

M. L. dénonce ce fait au procureur de la République du tribunal de grande instance de Lyon.

Il est alors convoquĂ© au commissariat de Mondeville (Calvados), sa commune de rĂ©sidence. Il rĂ©pète qu’il n’a pu dĂ©poser plainte Ă  Villeurbanne. Le procès-verbal Ă©tabli Ă  cette occasion rapporte qu’il Ă©tait informĂ© de ce que « depuis plus de dix ans, sur l’agglomĂ©ration lyonnaise les us et consignes en matière de non-reprĂ©sentation d’enfant sont de prendre une main courante ».

M. L. saisit le DĂ©fenseur des droits. Celui-ci constate un non-respect de l’article 15-3 du code de procĂ©dure pĂ©nale et de la circulaire CRIM 00 -13 F1 du 4 dĂ©cembre 2000 selon laquelle « dès lors qu’une victime fait connaĂ®tre sa volontĂ© de dĂ©poser plainte, les officiers ou agents de police judiciaire doivent donc toujours enregistrer sa plainte par procès-verbal. »

Il constate aussi que l’information dĂ©livrĂ©e Ă  M. L. Ă©tait fausse, le parquet de Lyon ayant, au contraire, demandĂ© aux services de police qu’ils ne refusent pas les dĂ©pĂ´ts de plaintes sur les faits de non-reprĂ©sentation d’enfants.

Six mois d’inaction après un cambriolage
Mme G-S. de nationalitĂ© britannique, propriĂ©taire d’une rĂ©sidence secondaire aux Alloeuds, toute petite commune des Deux-Sèvres, appelle les gendarmes le 26 mai 2010, après avoir dĂ©couvert un vol avec effraction. Le commandant de la brigade, l’adjudant et l’agent de police judiciaire de la gendarmerie de Chef-Boutonne viennent opĂ©rer les premières constatations.

Mme G-S parle un français très approximatif. L’adjudant, qui s’exprime aisĂ©ment en anglais, l’invite Ă  dĂ©poser plainte dans les locaux de la gendarmerie, et assure la fonction d’interprète.

HĂ©las, le procès-verbal comporte une erreur dont Mme G-S. ne se rend pas compte le jour mĂŞme, faute de lire le français. Ce PV mentionne qu’en son absence, ses clĂ©s ont Ă©tĂ© confiĂ©es Ă  un voisin Y. En fait, elles l’ont Ă©tĂ© Ă  M. C. qu’elle suspecte d’ĂŞtre Ă  l’origine du cambriolage, après avoir dĂ©couvert chez lui plusieurs objets lui appartenant.

Mme G-S. ayant dĂ» s’absenter, son agent d’assurances transmet en juillet une tĂ©lĂ©copie, faisant part de l’erreur commise sur le procès-verbal, au gendarme R. qui s’est vu confier l’enquĂŞte. A son retour, Mme G-S. appelle ce gendarme pour lui demander de modifier le procès-verbal. L’assureur envoie une deuxième tĂ©lĂ©copie ainsi qu’un courrier Ă©lectronique le 16 novembre 2010. Aucune suite n’est donnĂ©e Ă  leurs demandes.

Le militaire ne diligente aucune investigation au cours de procĂ©dure. Il la clĂ´ture et la transmet au parquet le 24 dĂ©cembre 2010. Le parquet classe sans suite la plainte de Mme G-S. faute d’identification de l’auteur des faits.

Le DĂ©fenseur des droits, saisi par Mme G-S. juge que les informations transmises par la victime et son assureur auraient dĂ» faire, « sans dĂ©lai «. l’objet d’un procès-verbal de renseignements annexĂ© Ă  la procĂ©dure. « En ne prenant pas soin de consigner ces renseignements, le gendarme R. s’est volontairement privĂ© de la possibilitĂ© de mener Ă  bien ses investigations de manière loyale, dans l’intĂ©rĂŞt de la manifestation de la vĂ©ritĂ© «. dit-il, dans sa dĂ©cision, en date du 25 septembre 2012.

Le gendarme R. n’a transmis les informations de la victime ni au commandant de brigade ni au parquet: « Il les a privĂ©s de la possibilitĂ© de vĂ©rifier les conditions dans lesquelles la procĂ©dure avait Ă©tĂ© traitĂ©e et surtout d’apprĂ©cier, en connaissance de cause, les suites Ă  donner. »
De l’aveu mĂŞme de ce gendarme, auditionnĂ© par les agents du DĂ©fenseur des droits, il aurait Ă©tĂ© probable que le commandant de brigade ou le magistrat du parquet demandent des investigations complĂ©mentaires sur la base de ces seules informations.

Le DĂ©fenseur des droits estime que le gendarme R. s’est « dĂ©libĂ©rĂ©ment soustrait aux obligations de sincĂ©ritĂ© et de probitĂ© inhĂ©rentes Ă  l’exercice de ses fonctions «. et que ce comportement a « compromis l’effectivitĂ© du droit pour la victime d’obtenir en justice la rĂ©paration de son prĂ©judice ».

Le DĂ©fenseur des droits constate que cette omission, ainsi que l’inaction observĂ©e par le gendarme pendant six mois, « contreviennent aux articles 8, 9 et 12 de la charte du gendarme et constituent des manquements Ă  la dĂ©ontologie de la sĂ©curitĂ©. » Il recommande que des poursuites disciplinaires soient engagĂ©es Ă  son encontre.

Il recommande par ailleurs que les services de police ou de gendarmerie « privilĂ©gient, dans la mesure du possible, le recours Ă  un interprète «. pour recueillir les dĂ©clarations des victimes ne parlant pas le français.

Refus de plainte après une altercation avec un vigile
Le 20 avril 2010, M. D. se rend dans un magasin d’articles de sport d’Illkirch Graffenstaden (Bas-Rhin). Il en arpente les rayons jusqu’Ă  ce qu’un agent de sĂ©curitĂ©, M. R.N. lui demande de retourner Ă  l’entrĂ©e dĂ©poser son sac Ă  dos. Le client refuse, arguant de l’absence de dispositif de surveillance.

Selon M. D. l’agent de sĂ©curitĂ© agrippe ses vĂŞtements, pour l’emmener vers la sortie. Comme il rĂ©siste, il lui assène deux coups de poing et projette sur lui trois jets de gaz lacrymogène. M. D. appelle le 112, qui lui envoie les pompiers. Il est conduit au centre hospitalier universitaire de Strasbourg.

Le 21 avril, M. D. se prĂ©sente au commissariat d’Illkirch Graffenstaden pour dĂ©poser plainte contre M. R.N. Les policiers refusent d’enregistrer sa plainte, au motif qu’il n’a pas de certificat mĂ©dical.

Le 22 avril, c’est M. R.N. qui se prĂ©sente au commissariat. Il dĂ©pose plainte contre M. D. pour faits de violences volontaires. Dans sa rĂ©sistance, le client lui aurait donnĂ© un coup d’Ă©paule, puis un coup dans le ventre. C’est alors qu’il aurait utilisĂ© sa bombe lacrymogène. Il joint Ă  don dĂ©pĂ´t de plainte un certificat mĂ©dical, datant du mĂŞme jour, faisant mention d’un endolorissement de la paroi abdominale, et justifiant l’octroi d’un jour d’incapacitĂ© totale de travail (ITT).

M. D. n’a pu dĂ©poser plainte dans ce mĂŞme commissariat que le 7 mai 2010. Il a joint Ă  celle-ci un certificat mĂ©dico-lĂ©gal dĂ©livrĂ© après l’examen du 26 avril. Celui-ci relève « une très discrète zone encore Ă©rythĂ©mateuse de la conque de l’oreille gauche compatible avec un coup tel que le dĂ©crit le patient ; une très discrète zone ecchymotique Ă  peine visible jaunâtre au niveau de la face externe du bras gauche compatible avec une zone de prĂ©hension manuelle; un dĂ©ficit auditif dans les aigus avec des acouphènes sans anomalie tympanique et sans fracture du rocher ». Ces blessures lui valent une ITT est infĂ©rieure Ă  vingt-quatre heures.

En l’absence de preuves et d’enregistrement de vidĂ©o-surveillance, les deux plaintes sont classĂ©es sans suite par le parquet de Strasbourg, le 7 juin 2011.

Le DĂ©fenseur des droits, saisi par M. D. n’a pas pu retrouver l’adresse de M. R.N. qui n’est plus salariĂ© de la sociĂ©tĂ© Europ Pro SĂ©curitĂ©, et n’a pu l’auditionner.

Il constate toutefois que M. R.N. avait une interdiction formelle de porter une quelconque arme, y compris une bombe lacrymogène, qui constitue une arme de 6ème catégorie, pendant son service. Le vigile a donc méconnu ses obligations professionnelles et commis un manquement à la déontologie de la sécurité.

Craignant qu’il ne rĂ©itère les faits, le DĂ©fenseur des droits a saisi le Conseil national des activitĂ©s privĂ©es de sĂ©curitĂ©, en charge de la dĂ©livrance des cartes professionnelles nĂ©cessaires Ă  l’exercice de leurs fonctions. Cet Ă©tablissements public administratif pourra s’assurer de la rĂ©gularitĂ© des conditions d’exercice de M. R.N. si celui-ci est Ă  nouveau employĂ© comme vigile.

Bien que la direction gĂ©nĂ©rale de la police nationale, saisie par le DĂ©fenseur des droits, n’ait pas trouvĂ© trace de la venue de M. D. au commissariat, le 21 avril, il ressort d’un procès-verbal de renseignements judiciaires, rĂ©digĂ© le jour-mĂŞme, qu’une gardienne de paix a contactĂ© le responsable du magasin, pour savoir si des enregistrements de vidĂ©o-surveillance Ă©taient disponibles. Elle a ensuite parlĂ© avec M. R.N. et lui a demandĂ© de venir dĂ©poser plainte contre M. D. Cette dĂ©marche n’a pu ĂŞtre initiĂ©e qu’après la venue de M.D. conclut le DĂ©fenseur des droits.

Il dĂ©plore que les policiers aient refusĂ© d’enregistrer sa plainte. Le fait d’exiger un certificat mĂ©dical constitue une violation de l’article 15-3 du code de procĂ©dure pĂ©nale. des articles 2 et 7 du code de dĂ©ontologie de la police nationale, et de l’article 4 de la a Charte de l’accueil du public et de l’assistance aux victimes .

Cette pratique est aussi contraire aux instruction contenues dans la note du directeur central de la sécurité publique, du 14 octobre 2009, récemment réitérées dans une note du 22 mars 2013.

Le DĂ©fenseur des droits prend toutefois acte avec satisfaction de la note de service du 26 juillet 2011 du directeur dĂ©partemental de la sĂ©curitĂ© publique du Bas-Rhin, qui constate que le fait que des victimes « sont renvoyĂ©es pour des motifs alĂ©atoires donnent une image dĂ©plorable de notre institution auprès de la population » .

Et vous, cela vous est-il arrivé? Témoignez!

Mise Ă  jour le 3 avril: chronique Sosconso du Monde du vendredi 4 avril

50 commentaires Ă  Stop aux refus de plaintes dans les commissariats. dit le DĂ©fenseur des droits

Bonjour. VoilĂ  hier je voulais aller porter plainte Contre un Ancien un ami refuse de me rendre les clĂ©s de mon domicile un ordinateur portable et d’autres affaires ce monsieur m’a coupĂ© l’herbe sous le pied il a Ă©tĂ© dĂ©posĂ© une main courante pour se protĂ©ger Ă  ce jour sur cette main courante je sais pas ce qui est Ă©crit du coup c’est moi qui etais coupable Lieu d’ĂŞtre victime. La police m’a proposĂ© de faire une main courante contre cette individu Je trouve que les faits sont assez grave pour que je puisse dĂ©poser plainte la police m’a Ă©galement dit d’aller Ă  son domicile pour aller rĂ©cupĂ©rer mes clĂ©s de mon domicile mon ordinateur portable mes autres affaires qui garde en sa possession je n’ai pas envie d’aller Ă  son domicile pour me faire agresser ou pour qu’il puisse porter plainte contre moi pour harcèlement moi je voudrais te dĂ©poser plainte pour que je puisse faire valoir mes droits merci de me rĂ©pondre vite j’espère que vous pourrez m’aider dans cette difficile Ă©preuve

Pauvre France, en effet…

J’ai dĂ©jĂ  essayĂ© par deux fois de porter plainte au commissariat de ma ville.

La première fois, c’Ă©tait pour un automobiliste qui m’avait poursuivie un samedi soir en voiture sur un boulevard en cherchant l’accident. dès que je changeais de file, et il se mettait devant moi et pilait. Bien sĂ»r, j’aurais eu tous les tort. J’ai bien cru que j’allais y passer (j’ai dĂ©jĂ  eu un accident Ă  20 km/h et c’Ă©tait dĂ©jĂ  violent) et j’ai fini par stopper au beau milieu de la voie en mettant mes feux de dĂ©tresse. J’avais gardĂ© en mĂ©moire l’immatriculation et suis allĂ©e au commissariat pour porter plainte. Il devait ĂŞtre 19h environ. DĂ©jĂ , on a enregistrĂ© mon arrivĂ©e comme « incivilitĂ© ». Je ne pense pas que vouloir provoquer un accident soit juste une incivilitĂ© comme un refus de prioritĂ© mais une agression en bonne et due forme, l’arme Ă©tant le vĂ©hicule. C’Ă©tait dĂ©libĂ©rĂ©.
J’ai attendu deux heures pendant lesquelles j’ai fait un malaise et suit tombĂ©e de ma chaise. Je rappelle que j’Ă©tais dans le hall d’un commissariat de police. Personne n’a bougĂ©. Je me suis relevĂ©e toute seule au bout de quelques minutes et ai demandĂ© un verre d’eau. On m’a presque envoyĂ©e bouler. Un agent a fini de mauvaise grâce par aller m’en chercher un mais en maugrĂ©ant. J’ai tĂ©lĂ©phonĂ© Ă  un ami de venir me soutenir et on a attendu encore deux bonnes heures, mais on n’a jamais pris ma plainte. On est parti il Ă©tait presque minuit. Quand Ă  la non-assistance Ă  personne en danger pour laquelle j’aurais aussi pu porter plainte contre les policiers cette fois, vers qui se tourner ?

La deuxième fois, c’Ă©tait samedi dernier, suite Ă  une agression dans un parking de grande surface (tentative de vol). Mais ils m’ont obligĂ©e Ă  ne dĂ©poser qu’une main courante, que ce serait parole contre parole, etc….
Pendant que j’attendais (3 heures, c’est assez dissuasif, je trouve), un couple venait dĂ©poser plainte car on avait dĂ©foncĂ© leur vĂ©hicule Ă  l’arrĂŞt. Ils avaient l’immatriculation du fautif grâce Ă  un voisin. Mais on leur a dit que ce n’Ă©tait pas possible puisqu’ils avaient le numĂ©ro du vĂ©hicule. Donc, si vous ne l’avez pas, vous ne pouvez rien faire, et si vous l’avez, … vous ne pouvez rien faire non-plus. Ils sont repartis très colère. Longue vie aux dĂ©linquants grâce Ă  la police !
J’ai aussi une voisine policier, et croyez-moi, ce n’est pas vers elle que je me tournerais en cas de problème !
Beaucoup sont de vĂ©ritables planquĂ©s qui usent de leurs prĂ©rogatives de façon abusives. Je n’ai plus de tout confiance en la police de mon pays, et c’est grave.
Et par contre, j’ai dĂ©jĂ  eu un pv alors que j’Ă©tais garĂ© dans une rue non-payante sur une place dĂ©limitĂ©e Ă  cet effet. Pauvre France, vraiment…

BONJOUR:voir chaque jour,ces images de cette dĂ©linquance,souvent multi rĂ©cidiviste,sans cesse plus violente:n’ayant rien Ă  craindre par la justice,souriant mĂ©me devant les camĂ©ras,avec un doigt d’honneur au passage:filmer certes des français. toute cette impunitĂ© entraine la chaine de haine,de facilitĂ©,le droit de vouloir tuer des policiers,jets de pierres,d’objets dangereux,les blĂ©ssants gravement parfois;est ce normal. ou va notre FRANCE. le manque d’autoritĂ© ,sanctions de ces magistrats laissent faire les dĂ©linquants sans cesse plus actif:ces mineurs catastrophe la aussi,aucune punition,les parents de ces enfants ne devraient plus avoir d’alloc,ni aucune aide,dehors ,se sont eux les responsables Ă  eux de subir:juste marre d’entretenir tout ça,nous vivons dans la peur ;souhaite que le gouvernement se BOUGE,les fait son la,les images aussi,faudra t’il continuer Ă  se faire insulter,mal traiter,tuer,sauter,blĂ©ssĂ©,qui est chez LUI::peut tout faire,sans soucis. vive ma FRANCE /

Bonjours je vois que je ne suis pas seule daans cette situation, mon avocat ma demander de deposĂ© plainte pour coups est menaces de mort sur moi je n’ai pas pu dĂ©poser plainte le jour meme parceque c’Ă©tais le père de ma fille qui me louais sa maison est il Ă©tais toujours a mon domicile j’ai tentĂ© ce jour la de le faire partir parceque mon fils a appler les gendarmes j’ai attendus une annĂ©e parceque je n’avais plus rien ou habiter est qu’il Ă©tais la. sur ce j’ai trouver un appartement est Ă©tĂ© deposer plainte suite au harcĂ©lĂ©ment qu’il me faisait sans cesse est mon les gendarme voulais un certificat mĂ©dical que j’ai eu de mon medecin suite au coup est a mis 15 jours d’ITT parce je suis tombĂ© dans l’anorexie je pese a ce jour 38 kilos le jour ou j’avais rendez vous le gendarme me dit non je prends pas votre plainte malgrĂ© mon certificat je suis rester debout une heure devant la porte est il n’a rien voulu s’avoir, j’ai 3 ans pour dĂ©poser plainte pour coups est menaces de mort ave enregistrement et la je suis desempare. j’avais dĂ©posĂ© deja une plainte en 2010 pour tort morale avec des enregistrement que je faisais car les seules temoins etais moi est mes enfants il nous maltraitais tous les soir deja le on a eu des certificat mĂ©dicaux pour mes enfant est moi meme pourquoi y a t’il autant de gandremerie si c’est pour jetter nos plaintes a la poubelle

Ă  Votre question: « cela vous est-il arrivĂ©? »
Je rĂ©ponds. ‘Tout Ă  fait ‘ pas plus tard que ce matin une fois de plus
C’est pour cela que je suis sur votre page, puisque je suis victime d’ infractions et de violence policières et de discrimination en continue par les agents du commissariat de VendĂ´me 41100 dont leur brigadier chef usant d’ abus de pouvoir et violant la loi en continue Ă  mon encontre ainsi -je dĂ©couvre- qu’envers nombre de citoyens irrespectĂ©s par le mĂŞme .
J’ai donc deux questions Ă  vous poser:
qu’est ce qui permet Ă  ces fonctionnaires d’abuser d’autant de pouvoir en violation de la loi et de leurs fonctions?
Quand le doyen des juges ne rĂ©pond, pas, que le procureur nĂ©glige les plaintes importantes, que le dĂ©fenseur nĂ©glige l’importance des infractions judiciaires, intentionnellement tel un avocat de partie adverse en tort qui frappe devant toute la cour le justiciable qui a raison, que la police dĂ©tourne les plaintes et fait valoir des plaintes sur fausses accusations, que des avocats impliquĂ©s disent ne pas faire appel et font semblant de vous dĂ©fendre en soutenant la partie adverse par intĂ©rĂŞts lucratifs Ă©vidents, fraudent, dĂ©tournent et falsifient des documents, Ă  qui s’adresser pour obtenir justice.
S. O .S. Justice

Ă  Votre question: « cela vous est-il arrivĂ©? »
Je rĂ©ponds. ‘Tout Ă  fait ‘ pas plus tard que ce matin une fois de plus
C’est pour cela que je suis sur votre page, puisque je suis victime d’ infractions et de violence policières et de discrimination en continue par les agents du commissariat de VendĂ´me 41100 dont leur brigadier chef usant d’ abus de pouvoir et violant la loi en continue Ă  mon encontre ainsi -je dĂ©couvre- qu’envers nombre de citoyens irrespectĂ©s par le mĂŞme .
J’ai donc deux questions Ă  vous poser:
qu’est ce qui permet Ă  ces fonctionnaires d’abuser d’autant de pouvoir en violation de la loi et de leurs fonctions?
Quand le doyen des juges ne rĂ©pond, pas, que le procureur nĂ©glige les plaintes importantes, que le dĂ©fenseur nĂ©glige l’importance des infractions judiciaires, intentionnellement tel un avocat de partie adverse en tort qui frappe devant toute la cour le justiciable qui a raison, que la police dĂ©tourne les plaintes et fait valoir des plaintes sur fausses accusations, que des avocats impliquĂ©s disent ne pas faire appel et font semblant de vous dĂ©fendre en soutenant la partie adverse par intĂ©rĂŞts lucratifs Ă©vidents, fraudent, dĂ©tournent et falsifient des documents, Ă  qui s’adresser pour obtenir justice.
S. O .S. Justice Ce Lundi 8 Août 201 6

Je reviens de faire mes courses vers 11h et gare ma voiture devant chez moi. Il pleut, les chiens sont Ă  l’intĂ©rieur.Range mes courses, fais le mĂ©nage, aspi etc…15h30 je sors pour aller chercher mon fils, et lĂ  dĂ©couvre la vitre avant explosĂ©e! Le choc! Je ne touche Ă  rien et appelle le 17 qui envoie une patrouille. Rien n’a Ă©tĂ© volĂ© (il n’y avait rien Ă  voler!) donc pour la gendarmerie bris de glace accidentel et refuse que je porte plainte. On te casse ton bien ( et lĂ  c’est volontairement, pas possible autrement) et tu ne peux pas porter plainte! Elle est belle la france!

J’ai fais l’amer expĂ©rience de plusieurs poste de Police qui refuse de prendre les plaintes. Leur solutions vous renvoyer ailleurs ou vous dire qu’il manque de pièces ou dĂ©marches pour porter plaintes.
Les sites concernés sont les PM de. Evry, Saint Michel sur Orge et ce jour 6 mais 2016 vers 9h la PM de Dourdan.
Et oui c’est le pont pour certain. Mon père s’est fait agressĂ© dans le RER C Ă  la montĂ©e Ă  la Gare d’Austerlitz hier soir. Personne ne l’a aidĂ© et voulu accepter d’ĂŞtre tĂ©moin. Tout cela près un long voyage de l’Ă©tranger pour cause de dĂ©cès de son cousin germain. On lui a volĂ© le camĂ©scope avec au total 2000 euros de prĂ©judice. Il a 65 ans. Oui les voleurs sont des lâches mais le sont tout autant la RATP incapable d’assurer la protection des voyageurs en plan Vigipirate Ă©levĂ© et pour enfoncer le clou un Police qui refuse de faire la base de son travail: prendre les plaintes et services les bons citoyens.
Le prĂ©texte de la Police de Dourdan a Ă©tĂ© d’imposer Ă  mon père de remonter jusqu’Ă  la Gare d’Austerlitz se dĂ©brouiller avec les objets trouvĂ©s et porter plainte lĂ -haut. Et après cela parle de prime et de subventions. Quel honte!
Quel leçon de civisme. La France me fait rire, vous ĂŞtes tous des clowns s’est pourquoi personne au monde ne craindra la France. Si on n’est pas rigoureux envers soi mĂŞme et envers ses citoyens faut pas espĂ©rer mieux d’ailleurs.

Il ne faut plus rien espĂ©rer des forces de l’ordre, des procureurs et de notre justice en règle gĂ©nĂ©rale en France, ces gens nous prouvent chaque jour leur laxisme et pire, leur dĂ©fense des dĂ©linquants et des ennemis du peuple Français et de la RĂ©publique, acte de traĂ®trise indĂ©niable.

J’ai Ă©tĂ© personnellement agressĂ© devant mon domicile par une personne maghrĂ©bine bien connue des services de police, lorsque les tĂ©moins de la scène ont appelĂ©, rien, lorsque après l’agression j’ai appelĂ© la police, la dame au bout du fil m’a raccrochĂ© au nez.

Je suis allĂ© ensuite Ă  la gendarmerie dĂ©poser plainte et on m’a dit de revenir le lendemain, le lendemain j’arrive et lĂ  le gendarme n’a pas voulu prendre ma plainte car je n’avais pas de dossier mĂ©dical attestant de l’agression !
(chose interdite, je ne le savais pas Ă  l’Ă©poque mais votre plainte doit etre prise tout de suite et votre dossier mĂ©dical peut etre rajouter le lendemain par exemple).

BientĂ´t 6 mois que j’ai dĂ©posĂ© ma plainte, l’agresseur continue de me narguer et me menacer, il continue ses trafiques de drogue, lorsque j’ai appelĂ© pour savoir oĂą en Ă©tait ma plainte, la gendarmerie m’a fait savoir que l’auteur de l’agression n’avait toujours pas Ă©tĂ© convoquĂ© pour ĂŞtre entendu sur les faits, 6 mois après !
Le gendarme s’est dĂ©douanĂ© sur le procureur disant que c’Ă©tait lui qui dĂ©cidait…

Seulement encore un mensonge, l’auteur de l’agression aurait dĂ» ĂŞtre auditionnĂ© le soir mĂŞme (lorsque les gendarmes sont venus 3h après l’agression en mon absence alors que j’Ă©tais Ă  l’hopital, l’auteur tournait autour de chez moi et Ă  menacer des proches devant les gendarmes, ceux-ci n’ont RIEN fait !). De plus pour convoquer l’auteur de l’agression physique lourde, il n’y a pas besoin de l’accord du procureur, c’est seulement quand l’auteur est convoquĂ© que le dossier est transmis au procureur afin d’en connaitre la suite, donc la gendarmerie m’a une fois de plus menti ce qui est extrĂŞmement grave et je ne manquerais pas de le faire savoir au procureur.

J’ai pu voir que ces manquements sont quotidiens au sein de la gendarmerie et de la police nationale, nous ne payons pas ces gens Ă  protĂ©ger les dĂ©linquants, mais Ă  protĂ©ger le peuple, faire respecter les lois de ce pays.

Tiens ça aussi, quand d’autres riverains et moi mĂŞme nous sommes plaints du trafique de drogue la rĂ©ponse des forces de l’ordre a Ă©tĂ©. « ca ca ne vous regarde pas ».

Ces collabo devraient avoir honte, qu’ils ne viennent pas pleurer quand leur fille. leur fils et leur femme subiront les consĂ©quences de cette protections des dĂ©linquants surtout lorsqu’ils sont maghrebin et/ou musulmans.
En effet lors de mon dĂ©pot de plainte, j’ai relatĂ© les mots et actes durant les faits, et tout ce qui touchait au coran, Ă  l’islam et aux musulmans a Ă©tĂ© censurĂ©. Le procès verbal n’est donc plus une rĂ©alitĂ© parfaite Ă  partir du moment oĂą les forces de l’ordre refusent certains mots, phrases qui se sont produits par peur des musulmans, lĂ  aussi s’il n’y a pas de problème avec l’islam pourquoi cette censure par peur de leur part et ce laxisme Ă  leur Ă©gard?

Et je ne suis malheureusement pas le seul Ă  subir et voir cela au quotidien.

Faites comme bon vous semble si vous avez encore l’espoir et la naĂŻvetĂ© de croire en une justice et une protection en France, personnellement c’est fini, je n’y crois absolument plus du tout.

En France quand vous ĂŞtes victimes c’est Ă  vous de vous excuser de porter plainte, c’est Ă  vous qu’on dit comme il m’a Ă©tĂ© dit » ne faites surtout pas justice vous mĂŞme vous le regretteriez toute votre vie… » et les agresseurs, les trafiquants eux on ne les convoque pas les pauvres ca pourrait nuire Ă  leur commerce, leurs attentats Ă  venir et leurs agressions en prĂ©paration sur d’honnĂŞtes citoyens.

En France si vous êtes normal, il faut partir dans un autre pays possédant encore une morale et des élus compétents, humains et sérieux, ou alors vous protéger vous même (mais on vous mettra en prison pour avoir osé ne pas vous laisser violer ou tuer).

Et après nos policiers, nos juges, notre Hollande et Valls donnent des leçons Ă  la Russie et d’autres pays…

Bonjour j ai Ă©tĂ© avec un pervers narcissique pendant 5ans il m’a battu et me rĂ©clamer souvent de l argent. et auprès de ma famille ma fais passer pour une fille facile on va dire. Kan mon ex ma casser mon portail les flics sont venu et son rĂ©partis aussitĂ´t et je ne suis mĂŞme pas aller signer quoi que ce soit. Un jour une copine a moi ma dit d aller dĂ©poser plainte contre lui je ne voulais pas j avais honte et cette fois ci j y suis aller car la violence Ă©tait trop douloureuse et la la femmes flic ma dit attendez c est de votre faute et j ai dit mais qu’est ce que j ai fais elle m’a dit c est vous qui le faite entrer donc c est vous qui ĂŞtes coupable j ai cru j aller tomber dans les pommes et j ai fondu en larme j en pouvais plu non seulement je venais me faire tirer les cheveux j avais des marques sur la jambes et encore c Ă©tait moi la coupable elle m’a dit vous ne le faite plu rentrer et si il reviens vous nous appeler .donc ensuite il c est calmer et Ă  pris son appartement

Juste un rappel une plainte peut etre deposee (ou transmise par courrier) directement au procureur de la republique. ENSUITE une main courante n est pas anodine et aussi valable qu un pv ( differends, abandon de famille ou de domicile, harcelement telephonique ou sexuel ou profesionnel etc …) pour ces derniers cas elles servent surtout a prouver le harcelement qui ne sera pas retenu s il reste un unique fait (1 seul appel ou 1 seule remarque a caractere sexuel par exemple)
Pour qu une plainte soit prise il faut une infraction Penale et 3 elements constitutifs ( legal, moral, et materiel) Succintement 1 qu elle figure dans le code penal 2 une intention de comettre la faut 3 un commencement d execution ( ce dernier cas est souvent litigieux, en gros il faut que l infraction soit commise ou tenter
Souvent l absence d un element entraine refus malheureusement sans explication. Pour finir reduction importante des effectifs, explosion infractions internet etc..
Blocage complet gendarmerie commissariat deja constate dans certaines villes donc plaintes non traitees ou traitement tres long

Je suis moi mĂŞme harcelĂ©e par des voisins depuis plus de 3 ans. Je me suis rendue plusieurs fois au commissariat de ma ville pour porter plainte. Car je subis des insultes grossières Ă  rĂ©pĂ©tition. L’histoire en elle mĂŞme est drĂ´le. Nous avons un trottoir qui sert de dĂ©potoir Ă  tout le monde, sans pouvoir marcher dessus, cailloux, herbes folles, arbres, arbustes. et c’est ici que l’ensemble des habitants du quartier, font faire leur besoin Ă  leur chien sans en ramasser les excrĂ©ments. Nous savons que ce n’est pas bien, mais vu que cela ne change rien au quartier.Un chantier est installĂ© Ă  cĂ´tĂ© de ce chemin depuis 24 mois et on y retrouve, canettes, bouteilles de bière, sacs poubelles et autres joyeusetĂ©s. Pour en revenir Ă  ces voisins, ils ont dĂ©cidĂ© depuis maintenant 3 ans de se focaliser sur mon chien et moi. Au bout de 5 mains courantes, oĂą on me disait que cette personne avait tout Ă  fait le droit de m’insulter (dixit les policiers), car cela n’est pas puni par la loi, mĂŞme si la femme m’a suivi dans la rue avec un couteau (n’ayant pas de tĂ©moin, selon eux), ils ne pouvaient toujours pas prendre de plainte. Il s’avère que ces mĂŞmes personnes sont venus nous agresser Ă  notre domicile et qu’ils ont frappĂ© mon mari qui s’est retrouvĂ© avec des contusions… hĂ´pital… et nous avons donc, porter plainte pour violences. Comme les enquĂŞtes sont très longes, ces personnes n’ont pas Ă©tĂ© inquiĂ©tĂ©es et encore une fois, j’ai Ă©tĂ© suivi jusqu’Ă  chez moi et insultĂ©e de tous les noms. Il est vrai qu’Ă  un moment donnĂ©,et puisque l’insulte n’est pas rĂ©prĂ©hensible et au bout de 3 ans de silence, demander Ă  cette voisine de « fermer sa gueule et de me foutre la paix ». Ceci Ă©tant le dernier Ă©change, qui m’a mit dans un tel Ă©tat de nerf, que j’ai donc couru au commissariat et une « gentille » agent de police, prenant la peine de lire mon dossier, a dĂ©cidĂ© de prendre une plainte pour harcèlement. Pour aller jusqu’au bout de ma plainte, le lendemain, Ă©tant toujours très enervĂ©e car ces personnes ayant quand mĂŞme tapĂ© mon mari et continuent leurs agissements, je me suis rendue chez mon mĂ©decin (tachycardie, anxiĂ©tĂ© …). Cela ne suffisant pas au commissariat ils m’ont envoyĂ© chez un psy judiciaire. Celle-ci m’a mise en garde sur une « couvade de dĂ©pression nerveuse ». Hier, devant avoir des informations sur mon dossier, j’ai contactĂ© la personne au commissariat qui Ă©tait en charge de ce dernier. Elle m’a littĂ©ralement insultĂ© au tĂ©lĂ©phone, me disant « ah oui l’affaires des crottes de chien » et nullement entendu dire « ah oui le dossier d’agression physique de votre mari ». Elle m’a rajoutĂ©, que j’Ă©tais une fausse victime et que j’allais moi aussi ĂŞtre entendue dans le cadre de cette affaire et que devant elle, on verrait bien ce que j’aurai Ă  raconter. Je n’ai pas pu placer un mot, car elle m’a fait comprendre qu’elle rentrait de vacances et qu’elle n’avait pas, envie que je lui gâche son premier jour de retour de congĂ©s. J’ai donc pris, malgrĂ© le fait que cet Ă©change tĂ©lĂ©phonique a aggravĂ© mon Ă©tat, mon courage Ă  deux mains et ai Ă©crit au commissaire de ce commissariat. Si cette personne ne change pas d’attitude Ă  mon Ă©gard, j’irai plus loin. Mais maintenant, je comprends que ces voisins qui nous agressent physiquement et verbalement continuent, car bien sur cela ne cesse pas, au vu de la rĂ©action de cette policière. Je suis dĂ©goutĂ©e par la justice au jour d’aujourd’hui.

Bonjour, essayez Ă©ventuellement de vous adresser Ă  un conciliateur de justice?
Bien Ă  vous